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Différents inventaires ont été réalisés par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) afin d’enrichir la connaissance et pouvoir déterminer les enjeux écologiques de la commune. Vous pouvez retrouver l’ensemble des inventaires et cartographies en cliquant sur l’image.
Les amphibiens regroupent trois ordres :
- Les anoures, tels que les grenouilles et crapauds. Ils n’ont pas de queue au stade adulte.
- Les urodèles, que sont les salamandres et les tritons. Eux, comparés aux anoures, gardent leur queue à l’âge adulte.
- Les gymnophiones, par exemple les cécilies. Les espèces de cet ordre là ont des pattes atrophiées.
Le nom amphibien vient du grec amphibios (double vie). En effet, leur particularité est que la phase larvaire est aquatique et que la phase adulte est terrestre.
Les amphibiens sont importants à étudier pour évaluer la fonctionnalité des milieux humides ainsi que leur lien avec les milieux terrestres, tout comme les odonates (cf partie entomofaune).
L’entomofaune se définit par l’ensemble des insectes d’un pays, d’une région, etc. Vous retrouverez ici les inventaires concernant les lépidoptères (papillons) et les odonates (libellules).
L’étude des lépidoptères est utile pour analyser la fonctionnalité des continuités écologiques. En effet, ils interagissent rapidement avec leurs milieux et sont dépendants des mesures de gestion des espaces verts, notamment en ville.
Les odonates, sont également utiles pour évaluer la fonctionnalité des milieux humides ainsi que leur lien avec les milieux terrestres, tout comme les amphibiens (cf partie amphibien). En effet, les odonates se servent des milieux humides pour se reproduire mais ont également besoin des milieux terrestres lors de la phase adulte.
Les oiseaux font certainement partie des animaux les plus connus mais ils sont également fortement menacés. La Ville de Vienne a mis en place des nichoirs dans les rues et parcs afin d’accueillir des espèces telles que la mésange charbonnière, la sittelle torchepot ou bien le rouge-gorge.
L’étude des chiroptères permet de mieux définir la trame noire et donc les continuités écologiques nocturnes. En effet, les espèces de chiroptères sont très sensibles à la pollution lumineuse. Vous retrouverez ci-dessous les résultats des inventaires chiroptères. La question de la trame noire est traitée dans la partie « synthèse des enjeux ».
La LPO a procédé à un inventaire de la flore, vous pouvez retrouver une liste des espèces de flore patrimoniale ainsi que la répartition géographique des enjeux de ces dernières.
- Les habitats d’intérêt patrimonial
- Les zones perméables à la faune
- Les habitats d’espèces d’intérêt patrimonial (protégées, menacées ou enjeux locaux particuliers)
- Les « réservoirs de biodiversité » (richesse spécifique, habitat particulier…)
- Les secteurs concernés par les espèces envahissantes (faune et flore)
Amphibiens
Les amphibiens regroupent trois ordres :
- Les anoures, tels que les grenouilles et crapauds. Ils n’ont pas de queue au stade adulte.
- Les urodèles, que sont les salamandres et les tritons. Eux, comparés aux anoures, gardent leur queue à l’âge adulte.
- Les gymnophiones, par exemple les cécilies. Les espèces de cet ordre là ont des pattes atrophiées.
Le nom amphibien vient du grec amphibios (double vie). En effet, leur particularité est que la phase larvaire est aquatique et que la phase adulte est terrestre.
Les amphibiens sont importants à étudier pour évaluer la fonctionnalité des milieux humides ainsi que leur lien avec les milieux terrestres, tout comme les odonates (cf partie entomofaune).
Entomofaune
L’entomofaune se définit par l’ensemble des insectes d’un pays, d’une région, etc. Vous retrouverez ici les inventaires concernant les lépidoptères (papillons) et les odonates (libellules).
L’étude des lépidoptères est utile pour analyser la fonctionnalité des continuités écologiques. En effet, ils interagissent rapidement avec leurs milieux et sont dépendants des mesures de gestion des espaces verts, notamment en ville.
Les odonates, sont également utiles pour évaluer la fonctionnalité des milieux humides ainsi que leur lien avec les milieux terrestres, tout comme les amphibiens (cf partie amphibien). En effet, les odonates se servent des milieux humides pour se reproduire mais ont également besoin des milieux terrestres lors de la phase adulte.
Oiseaux
Les oiseaux font certainement partie des animaux les plus connus mais ils sont également fortement menacés. La Ville de Vienne a mis en place des nichoirs dans les rues et parcs afin d’accueillir des espèces telles que la mésange charbonnière, la sittelle torchepot ou bien le rouge-gorge.
Chiroptères
L’étude des chiroptères permet de mieux définir la trame noire et donc les continuités écologiques nocturnes. En effet, les espèces de chiroptères sont très sensibles à la pollution lumineuse. Vous retrouverez ci-dessous les résultats des inventaires chiroptères. La question de la trame noire est traitée dans la partie « synthèse des enjeux ».
Flore vasculaire
La LPO a procédé à un inventaire de la flore, vous pouvez retrouver une liste des espèces de flore patrimoniale ainsi que la répartition géographique des enjeux de ces dernières.
Habitats naturels et semi-naturels
La Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) a cartographié l’ensemble des milieux de la ville. Voici les grands types d’habitats. Une analyse plus complète est à retrouver dans la partie « synthèse des enjeux »Synthèse des enjeux
Vous trouverez ici l’ensemble des cartes résumant les enjeux qui ont été déterminé grâce aux inventaires et aux analyses de la LPO :- Les habitats d’intérêt patrimonial
- Les zones perméables à la faune
- Les habitats d’espèces d’intérêt patrimonial (protégées, menacées ou enjeux locaux particuliers)
- Les « réservoirs de biodiversité » (richesse spécifique, habitat particulier…)
- Les secteurs concernés par les espèces envahissantes (faune et flore)